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Rencontre avec Lucica, fondatrice de l’entreprise de nettoyage Proéclat 🧼✨
Peux-tu te présenter ? As-tu toujours travaillé dans le domaine des prestations d’entretien ou est-ce une reconversion professionnelle ? “J’ai toujours fait ce métier, j’ai commencé à travailler à mon compte dès 16 – 17 ans. Je travaillais pour des particuliers avec qui j’ai établi de réels liens au fil des années. Il y a notamment une femme pour qui j’ai longtemps travaillé qui m’a marquée. Je considère qu’elle a participé à faire de moi ce que je suis devenue aujourd’hui. Elle m’a aidée à me former en me transmettant son exigence, ses astuces… Je suis quelqu’un de très organisée,

Les Figures du quartier avec Talal, fondateur de l’espace de coworking dédié au tatouage Maison Python 🐍
Est-ce que tu as toujours exercé dans le milieu du tatouage ou c’est une reconversion professionnelle ? “Non, je n’ai pas toujours été tatoueur. J’ai fait une formation professionnelle à Claude Garamond à La Garenne-Colombes, c’est une école de communication, de pub et de design graphique. C’était vraiment ce que je voulais faire et j’en suis très content puisque finalement, ça m’apporte énormément dans ce que je fais aujourd’hui. Ensuite j’ai dérivé, je suis parti à Amsterdam. J’ai fait la Gerrit Rietveld Académie en fine art ce qui correspond un peu à un équivalent des beaux-arts. Ça m’a amené à

Les Figures du quartier avec Jaurès, fondateur du disquaire Soul Ableta 📀
Parle-nous de toi. As-tu toujours été disquaire ou est-ce une reconversion ? Pourquoi as-tu choisi ce métier ? “J’ai fait des petits jobs avant de vendre des disques, mais ça fait plus de 15 ans que j’exerce cette activité. Je me suis lancé là-dedans par passion pour la musique.” Qu’est ce qui t’a poussé à sauter le pas et à créer ton entreprise ? “Cela me semblait dans l’ordre des choses, c’était une évolution naturelle. Avant j’ai longtemps vendu des disques par correspondance et je faisais des bourses aux disques nationale et internationale. C’était la concrétisation de mon activité.” Quand as-tu commencé à
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Peux-tu te présenter ? As-tu toujours travaillé dans le domaine des prestations d’entretien ou est-ce une reconversion professionnelle ? “J’ai toujours fait ce métier, j’ai commencé à travailler à mon compte dès 16 – 17 ans. Je travaillais pour des particuliers avec qui j’ai établi de réels liens au fil des années. Il y a notamment une femme pour qui j’ai longtemps travaillé qui m’a marquée. Je considère qu’elle a participé à faire de moi ce que je suis devenue aujourd’hui. Elle m’a aidée à me former en me transmettant son exigence, ses astuces… Je suis quelqu’un de très organisée,

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Est-ce que tu as toujours exercé dans le milieu du tatouage ou c’est une reconversion professionnelle ? “Non, je n’ai pas toujours été tatoueur. J’ai fait une formation professionnelle à Claude Garamond à La Garenne-Colombes, c’est une école de communication, de pub et de design graphique. C’était vraiment ce que je voulais faire et j’en suis très content puisque finalement, ça m’apporte énormément dans ce que je fais aujourd’hui. Ensuite j’ai dérivé, je suis parti à Amsterdam. J’ai fait la Gerrit Rietveld Académie en fine art ce qui correspond un peu à un équivalent des beaux-arts. Ça m’a amené à

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